Œuvres de Wole Soyinka traduites en français :

Théâtre :

Le Lion et la Perle, trad. par J. Chuto et Ph. Laburth-Tolra, Éditions Clé, 1968.
La Danse de la forêt, trad. par Élizabeth Janvier, Pierre Jean Oswald, 1971.
Les Gens des marais suivi de Un sang fort et Les Tribulations de Frère Jero, trad. par Élizabeth Janvier, Pierre Jean Oswald, 1971.
La Métamorphose de Frère Jéro, trad. par Élizabeth Janvier, Présence africaine, 1986.
La Mort et l’Écuyer du roi, trad. par Thierry Dubost, Hatier, 1986.
La Route, trad. par Christiane Fioupou et Samuel Millogo, Hatier, 1988.
La Récolte de Kongi, trad. par Éliane Saint-André Utudjian et Claire Pergnier, Silex, 1988.
Les Bacchantes d’Euripide, trad. par Étienne Galle, Silex, 1989.
Fous et spécialistes, trad. par Éliane Saint-André Utudjian et Claire Pergnier, Nouvelles du Sud, 1990.
Requiem pour un futurologue, trad. par Étienne Galle, Nouvelles du Sud, 1990.
Du rouge de cam sur les feuilles, trad. par Éliane Saint-André Utudjian et Claire Pergnier, Nouvelles du Sud, 1993.
Le Maléfice des jacinthes, trad. par Gérard Meudal, Éditions Zoé, 1999.
Baabou roi, trad. par Christiane Fioupou, Actes Sud-Papiers, 2005.

Poésie :

Idanre, trad. par André Bordeaux, Les Nouvelles Éditions Africaines, 1982.
Cycles sombres, trad. par Étienne Galle, Silex, 1987.
La Terre de Mandela, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1989.

Romans :

Les Interprètes, trad. par Germaine Landré, Présence africaine, 1979 ; nouvelle trad. par Etienne Galle, 1991.
Une saison d’anomie, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1987.

Écrits autobiographiques et biographiques :

Aké les années d’enfance, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1984.
Cet homme est mort, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1986.
Isara : périple autour de mon père, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1983.
Ibadan, les années pagaille (Mémoires : 1946-1965),trad. par Étienne Galle, Actes Sud, 1997.
Climat de peur, trad. par Étienne Galle, Actes Sud, 2005.
Il te faut partir à l’aube, trad. par Étienne Galle, Actes Sud, 2007.

Essais et écrits divers :

Que ce passé parle à son présent, discours de Stockholm, trad. par Étienne Galle, Belfond, 1987.


PARUTION : IL TE FAUT PARTIR A L’AUBE
Belle et heureuse coïncidence : au moment même de l’ouverture de la Fête du Livre consacrée cette année à Wole Soyinka paraît aux Éditions Actes Sud Il te faut partir à l’aube, deuxième volume de ses mémoires.

«Ce livre incomparable de grande et de petites histoires retrace ces trente dernières années de tumulte, de violence et de passions au Nigeria. Une vie publique passionnante, une méditation sur la justice et la tyrannie, un témoignage fascinant légué à un pays ravagé mais plein d’espoir.
Premier Africain à recevoir le prix Nobel de littérature et militant politique aux énergies prodigieuses, Wole Soyinka donne ici une suite à son classique Aké les années d’enfance dans une chronique tout aussi importante de sa tumultueuse vie d’adulte, que ce soit dans sa patrie bien-aimée en proie aux troubles, ou en exil.
La langue lyrique abrupte et généreuse qui caractérise son œuvre dramatique et romanesque, donne voix dans le présent récit à l’esprit indomptable du Nigeria lui-même.» Actes Sud

Il te faut partir à l’aube
Mémoires traduites de l’anglais (Nigeria) par Étienne Galle.
En librairie le 3 octobre